Beethoven Symphonies

Toute jeune phalange à la renommée grandissante, l’orchestre Consuelo et son chef Victor Julien-Laferrière abordent le génie de Beethoven avec un programme célébrant la vitalité et l’intemporalité de sa musique.

En guise de chauffe, l’orchestre interprète deux romances, non pas avec un violon soliste, mais avec le violoncelle gracile et fougueux de Victor Julien-Laferrière, lauréat en 2017 au Concours Reine Elisabeth. 

La première partie s’achève par la Symphonie n°8, op. 93, en fa majeur, sans doute sa pièce la plus légère de par l’absence de mouvement lent, remplacé par un allegretto scherzando pétillant, fantaisiste et comique.

En seconde partie, la Symphonie n°5 en ut mineur, op. 67, dite Symphonie du Destin, œuvre érigée en symbole de la musique classique et popularisée à travers le cinéma et la télévision, clôt avec panache une brillante exécution de chefs-d’oeuvre dont on ne se lasse pas.